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Rodriga Portella-Michel Marc Bouchard

TOM NA FAZENDA (BRESIL)

Compagnie : Quadrovivo Produções/Galharufa Produções

THEATRE 2h10

Distribution

Texte: Michel Marc Bouchard

Traduction en portugais: Armando Babaioff

Mise en scène: Rodrigo Portella

avec: Armando Babaio Soraya Ravenle Gustavo Rodrigues Camila Nhary

Scénographie: Aurora dos Campos

Lumières: Tomás Ribas

Costumes: Bruno Perlatto

Musique: Marcello H.

Chorégraphie: Toni Rodrigues

Design et communication: Victor Novaes

Production

Production déléguée: Milena Monteiro 
Production: Galharufa Produções 
Idée originale: ABGV Produções Artística

Résumé

PRIX DU MEILLEUR SPECTACLE MONTREAL 2018
PRIX DE LA CRITIQUE DE SAO PAULO/BRESIL
PRIX DU MEILLEUR ACTEUR, PRIX DU MEILLEUR METTEUR EN SCENE

Le premier à m’avoir parlé de ce spectacle il y a 3 ans, c’est Martin Faucher, l’ancien directeur du FTA. (Festival TranSamériques, international à Montréal au Canada).   L’auteur de la pièce Tom à la ferme, Michel Marc Bouchard lui a confié après avoir vu la création à Rio de Janeiro « avoir assisté à une des plus belles et puissantes mise en scène de sa pièce. Deux heures de pur bonheur théâtral. Une interprétation d’une grande sensibilité et d’une rare intelligence. Un plateau nu, d’immenses acteurs, une violence qui atteint le sublime, une sensualité unique sans parler de la tendresse et de la beauté. Le plus beau cadeau que l’on puisse donner à l’auteur d’une pièce c’est de lui faire oublier que c’est lui qui l’a écrite et j’ai eu droit à ce cadeau ce soir. Et le public a applaudit à tout rompre au final. » 
Spectacle programmé dans le cadre du FTA et ensuite L’USINE C à Montréal, (je connais des québécois qui l’ont vu 3 fois !) et de nombreux prix ont salué au Brésil et au Canada cette création.

  • Dans l’histoire, après la mort de son compagnon, le publicitaire Tom se rend dans la ferme de la famille pour les funérailles. Lorsqu’il arrive, il se rend compte que sa bellemère n’a jamais entendu parler de lui et ne savait pas non plus que son fils était gay. Dans cette atmosphère rurale austère, Tom est pris dans une toile de mensonge créés par le truculent frère du défunt, établissant alors avec la famille des relations de dépendance compliquées. La ferme, petit à petit, devient le scénario d’un jeu dangereux, où plus la proximité entre les personnages se développe, plus forte setourne l’ombre de leurs contradictions.

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La presse en parle

 « … tragique, sublime, pourrait être emblématique. Une ovation debout a salué chacune des représentations transgressives, d’une esthétique brute et sauvage, proche de la quête des Fleurs du Mal, avec des acteurs repoussant leurs limites. »
 

LA TERRASSE

« Les comédiens font preuve d’un intense engagement physique. La mise en scène de Rodrigo Portella est à la fois simple, puissante, cohésive, charnelle. »

LE DEVOIR

« Ils ont fait une lecture fascinante de la pièce. Le plus beau cadeau qu’on peut faire à un auteur, c’est de lui faire oublier qu’il a écrit la pièce qu’on lui présente. » « l’adaptation par une troupe brésilienne de Tom à la ferme, est «la meilleure production» de cette pièce.

L'auteur Michel Marc Bouchard

Sur un plateau couvert de boue rouge, les comédiens montrent un engagement physique rare dans un spectacle d’une sauvagerie parfois brute et splendide qui vous attrape au collet et ne vous lâche plus.

Sylvain Merle. dans LE PARISIEN.

Lutte dans la boue pour dire le droit à l’amour au masculin. La mise en scène de Rodrigo Portella est à la mesure du projet. Sobre, puissant et charnelle. Quant au récit il est bouleversant. Au Brésil on meurt des préjugés et de l’intolérance. Tom dans ses errances hurle cette injustice, et appel à une prise de conscience. Sur le plateau rien n’est facile, rien n’est gratuit. L’humour n’est pas non plus absent de cette remarquable fresque humaine glaçante et pourtant bouillante d’espérance.  

Gérald Rossi. dans L’HUMANITE.

NOTRE COUP DE CŒUR. Dans un pas de deux captivant, ils épuisent leurs corps livrés à un ballet fascinant entre homophobie et homo-érotisme, amour et haine. Deux actrices, impressionnantes de conviction elles aussi, complètent la distribution. On se souviendra de cette performance physique, charnelle sans jamais l'être.

LE JOURNAL DU DIMANCHE.

COUP DE CŒUR DU FESTIVAL. Faisant le choix d’un décor minimal, une immense bâche arrosée de boue, dont la puissance visuelle est décuplée par une lumière mouvante, la mise en scène de Rodrigo Portell plonge le public dans un huis clos glaçant. Attirance, répulsion, haine, chagrin, tout se mêle dans l’ambiguïté de la relation qui se noue entre Francis et Tom sous l’œil de la mère qui ferme les yeux sur leurs affrontements, comme jadis sur les bagarres de ses deux fils. Corps jetés dans la bataille, les acteurs sont époustouflants : Armando Babaioff est un Tom tout en douloureuses nuances, Gustavo Rodrigues, un Francis ténébreux et troublant. On sort bouleversé par cette ardeur d’un théâtre à sonder les sombres tréfonds des âmes torturées.

Marie-Valentine Chaudon dans LA CROIX.

Interprétation magistrale. Remarquable.

Sonia Garcia-Tahar dans VAUCLUSE MATIN.

Un coup de poing au plexus ! Pour la troupe, exceptionnelle d’intensité sur un vaste espace de terre et de boue ocre, c’est une métaphore de la situation du Brésil qui s’enfonce dans la régression. Mettre en scène et jouer Tom à la ferme, c’est pour ces artistes un acte de résistance. Gorge nouée, standing ovation.

Alain Pecoult dans LA PROVENCE.

La force de ce spectacle au sang chaud réside dans sa façon alchimiste de transformer a saleté suante et poisseuse dans ce bourbier en une matière lumineuse pleine de beauté et d’organicité. Un jeu admirablement juste et charnel.

Christophe Candoni. dans SCENEWEB.

Tom na fazenda, un embrasement tellurique et incandescent des corps et des âmes. Rodrigo Portella signe une œuvre magistrale, sidérante, un uppercut théâtral où se conjugue violence, incandescence, beauté, tortures et barberies. Rien n’est trop, tout est juste. Avec peu de chose, une immense bâche noire, quelques seaux, de la terre et de la boue, il fait résonner la langue rugueuse du dramaturge québécois, met en lumière l’aridité des sentiments qui lient les personnages ainsi que le jeu charnel, habité des comédiens. Tout comme Tom, on pénètre à la ferme, on prend de plein fouet la brutalité de ce frère, de ce bloc à l’érotisme sauvage. En transformant ce charnier poisseux, tragique, en une fresque organique, tellurique, pleine d’animalité, Rodrigo Portella gagne par K.O. Son Tom à la ferme est d’une irradiante beauté. Un des spectacles à ne pas rater du Off !

Olivier Frégaville-Gratian d’Amore dans L’ŒIL D’OLIVIER.

Un spectacle qu’il n’est pas possible d’oublier, une pièce majeure qui ne peut être laissée de côté ! Une pièce inouïe.

Lucine Bastard-Rosset. dans TOUTE LA CULTURE.
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