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Sébastien David

Les haut-parleurs

Compagnie : Théâtre Bluff

Théâtre Adolescents 70 minutes

Distribution

Texte et mise en scène : Sébastien David
Distribution : Marie-Hélène Bélanger, Guillaume Gauthier, Richard Thériault
Décor : Simon Guilbault
Son : Olivier Girouard
Éclairages : Martin Sirois
Costumes : Pierre-Luc Boudreau
Mouvement : Sarah Dall’Ava
Assistance à la mise en scène et régie : Catherine Comeau
Direction de production et technique : Nicolas Fortin
Équipe de tournée : Michel St-Amand, Alexis Rioux

Production

Théâtre Bluff

Résumé

DE L'IMPORTANCE DE L'AMITIE....

Les Haut-Parleurs raconte l’arrivée du Fils, seize ans, dans une nouvelle ville au début d’un été qui s’annonce chaud et ennuyant. Alors que tout le monde a quitté pour les vacances, le Fils se lie d’amitié avec le Voisin, un sexagénaire esseulé, qui lui fera découvrir le monde infini de la musique. Puis, le Fils rencontre Greta, une ado de son âge au caractère explosif, avec qui il trompera l’ennui. Mais comme dans toutes les petites villes, il existe un ordre établi. Quand les cloches de la cathédrale arrêtent de sonner, on peut entendre toutes sortes de rumeurs qui circulent, des rumeurs qui forceront le Fils à se redéfinir. Une vibrante fable qui donne à entendre l’écho de tout ce qui est fragile et qui met en lumière les traces que peut laisser l’autre sur notre vie.

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Galerie photos et vidéos

La presse en parle

Soulignons le jeu des comédiens, toujours dans le mille. Gauthier fait preuve d’une grande justesse, alors que Marie-Hélène Bélanger (Greta) donne beaucoup de singularité et de couleur à son personnage d’adolescente en mal d’amour. Un plaisir, également, de retrouver Richard Thériault, un acteur sous-évalué qu’on tient en haute estime depuis son marquant rôle du notaire dans Incendies, de Wajdi Mouawad. La mise en scène, sobre et fluide, leur laisse tout l’espace dont ils ont besoin pour camper ce doux récit initiatique.

Philippe Couture dans Voir.ca

Ce qu’il nous propose ici est une magnifique réflexion sur la passation de la connaissance et du savoir, sur l’amitié intergénérationnelle, sur le bonheur et parfois la nécessité pour un adolescent de connaître un mentor qui saura le guider et lui faire comprendre un peu la vie.

Marie-Claire Girard dans Huffington Post

Sorte de récit d’apprentissage, Les Haut-Parleurs porte un regard plutôt tendre sur trois personnages dissemblables, mais qui ont en commun la solitude. Et une blessure. La production du Théâtre Bluff— solide compagnie qui, à 25 ans, est plus vieille que son public cible— peut aussi être appréciée par les adultes.

Marie Labrecque dans Le Devoir

Les Haut-Parleursillustre bien comment les trois personnages tentent de trouver leur place dans la société, montrant que les questionnements identitaires ne sont pas propres à l’adolescence, mais à l’humain en général. Les Haut-Parleurstémoigne encore une fois de la sensibilité et de la lucidité des textes de Sébastien David. Avec ce spectacle, le Théâtre Bluff amorce brillamment sa résidence de trois ans au Théâtre Denise-Pelletier.

Sara Thibault dans Mon (theatre).qc.ca

La mise en scène signée Sébastien David est habile et efficace. Évoluant dans un décor minimaliste, le comédien chevronné Richard Thériault (Voisin) ainsi que les deux jeunes acteurs Guillaume Gauthier (Guillaume) et notamment Marie-Hélène Bélanger (Greta) qui  a beaucoup de talent, jouent avec justesse et viennent nous toucher. L’avenir de Sébastien David est très prometteur !

Micheline Rouette dans Alternative Rock Press

La fragmentation du discours et le jeu des acteurs, souvent minimaliste, donne une grande force à l’ensemble. La narration est claire. Les personnages sont émouvants. La lumière du soleil aveuglante contraste avec l’obscurité des sentiments.

Sophie Jama dans Infoculturebiz

Sébastien David a prouvé sa belle maîtrise de l’écriture théâtrale. L’auteur de 32 ans a un univers bien à lui, dans lequel il explore la solitude et la misère urbaines. Sans aucun misérabilisme.

Luc Boulanger dans La Presse

C’est une voix singulière et attachante que celle de Sébastien David. Dans cette pièce d’une heure, aux courtes scènes, l’auteur deMorb(y)desnous fait vivre l’été d’un adolescent, dit le Fils, seul en ville avec son père. La phrase finale − on vous laissera le soin de la découvrir −, un peu grandiloquente, peut-être, mais très significative, laisse espérer que, oui, la transmission est possible entre les générations.

Marie-Christine Hellot dans Revue Jeu

Cette pièce, c’est aussi un regard sur trois solitudes », fait remarquer le comédien qui ajoute qu’il s’agit également d’une quête identitaire. « Le jeune adolescent porte en lui ses blessures. » C’est aussi quelqu’un qui vit une relation difficile avec son père. Ainsi, on peut penser qu’à travers cette amitié, l’adolescent est à la recherche d’un père et d’un modèle.

Louise Bourbonnais dans Le Journal de Montréal
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